Une année qui commence, un nouveau tour qui commence autour de notre source principale d’énergie et de vie : le Soleil. Les problèmes d’hier n’ont pas disparu, de nouveau apparaîtront et nous devons dans notre environnement de plus en plus exigeant répondre collectivement et en vérité au défi de l’évolution.
2024 ouvrons donc nos horizons : nos esprits, nos cœurs, nos yeux à la connaissance et aux autres. TCGNRG vous souhaite une bonne et heureuse année et vous assure son soutien pour tous ces défis
L’eau est présente partout à la surface de la planète terre, sous forme de liquide (eau salée, douce ou saumâtre), solide (glace, neige) et gazeuse (vapeur d’eau), à la fois dans l’atmosphère mais aussi dans les soles. L’EAU est essentielle pour la VIE mais aussi pour les paysages, l’équilibre climatique et les technologies.
Cette année les eaux souterraines sont mises en avant. Elles sont présentes sous forme de nappe, de source, d’infiltration.
Les eaux souterraines constituent un réseau invisible et essentiel pour les zones humides et désertiques. Elles transportent minéraux, matière organique et depuis peu (moins de 200 ans) des polluants chimiques persistants; elles alimentent des étangs, des rivières, et les eaux côtières.
Les eaux souterraines sont la partie cachée du cycle global de l’eau, du fait de leur invisibilité elles sont trop peu protégées.
En cette journée internationale TCGNRG vous conseille de prendre le temps pour penser en conscience d’où elle vient l’eau que vous buvez ou que vous utilisez et où elle va afin de mieux participer à sa préservation.
L’éducation (et l’accès au savoir) sans être une garantie de justice sociale est une chance de plus de vivre en santé, en paix et d’éviter l’exploitation et cela à tous les âges.
il est important que tous se questionnent sur l’état de nos systèmes éducatifs et de l’avenir que nous voulons afin de les améliorer.
L’éducation comprend aussi l’ensemble des savoirs et des savoir-faire humain développés incluant les savoirs de issus de nos cultures. La mondialisation et l’accès aux connaissances à une échelle industrielle via Internet classifient les savoirs, rendant la vie des sachants inadaptée à leurs environnements.
En cette journée internationale il est important de se questionner sur une éducation à tous les âges qui valorise et respecte l’ensemble des savoirs, savoir-faire et savoir-être.
TCGNRG a pour essence la mise à disposition des savoirs et des outils de compréhension au plus grand nombre en particulier pour les phénomènes à l’interface océan-atmosphère. Pour cela le respect des cultures et savoir ancestraux est essentiel car bien que les cent dernières années ont vu une progression des méthodes d’observation et de modélisation, elle n’ont permis de directement caractériser que les cent (100) dernières années ce qui est faible par rapport à l’histoire de l’humanité (7 millions d’années)
Du 20 au 22 octobre 2019, l’Université des Antilles sur le Campus de Fouillole en Guadeloupe a organisé la réunion annuelle du CAS (Académie des Sciences de la Caraïbe) et de CARISCIENCE.
La conférence CARISCIENCE 2019 «CARIBBEAN SCIENCE AND INNOVATION MEETING» (RÉUNION DES SCIENCES ET DE L’INNOVATION DANS LA CARAÏBE) a été l’occasion de récompenser Mme S. Haque pour ses travaux important en astrophysique, en recherche de signe de vie dans l’univers et de vulgarisation scientifique pour la jeunesse et via des émissions de télévision.
Cela a été également l’occasion pour le professeur E. Calais de l’ENS de réaffirmer la grande utilité et les besoins des géosciences dans la Caraïbe. Dans son exposé «Research, Training and Innovation in Earth Science: a Caribbean perspective?» (Recherche, formation et innovation en sciences de la Terre: une perspective caribéenne?), Le professeur Calais a listé les principales applications qui peuvent être effectué pour la communauté à l’aide des géosciences. On peut regretter que sa présentation ait porté essentiellement sur les risques naturels et ne mentionne pas son utilité quotidienne et pour la qualité de la vie quotidienne. Quoi qu’il en soit, cette présentation a confirmé indirectement la politique et les objectifs du Groupe de recherche Caribéen en Géophysique et Numérique (The Caribbean Geophysical and Numerical Research Group). Il a de nouveau validé le projet défendu par le TCG • NRG à l’échelle de la zone des Caraïbes.
Les
deux jours de conférence étaient centrés sur quatre thèmes
principaux: la biodiversité; la santé; l’agronomie; les risques
naturels et la chimie.
Les sessions organisées sont listées ci-dessous:
Biodiversité et santé;
Biodiversité-Chimie;
Risque;
Chimie;
Biodiversité et Agronomie.
La grande diversité de thèmes présentés lors de cette conférence a été l’occasion pour TCG•NRG de présenter des élément de deux études réalisées en collaboration avec des étudiants de campus de UWI Mona et du département de physique de la Faculté des Sciences et Technologies.
Un poster de Alton Daley sur le potentiel énergétique des vagues autour de la Jamaïque: « The First Steps Towards The Realization Of Energy From Oceanic Waves In Jamaica« (Les premiers pas vers la réalisation de l’énergie issue des vagues océaniques en Jamaïque). Alton présente dans cette étude des résultats intéressant de son étude sur Mphil, en particulier l’état de la mer autour de la Jamaïque. L’affiche est accessible sur ce lien
Le deuxième ouvrage est une présentation orale d’une première expérimentation LoRa pour un réseau de capteurs en Jamaïque. Ces travaux font partie des projets Zachary William Mphil et #JamGreenDesal: «Using LoRa P2P NetworkforAutonomous Seawater Quality Monitor for Green Powering Desalination Plant» (Utilisation du réseau LoRa P2P pour le moniteur de qualité de l’eau de mer autonome pour une usine de dessalement écologique).
La première affiche qui doit être présentée avant le changement par l’organisateur lors d’une présentation orale est disponible sur ce lien.
Les travaux présentés lors de cette conférence étaient de bonne qualité et comportaient de nombreux sujets intéressants axés sur la région des Caraïbes. On peut citer la présentation du Dr Dalila Aldana-Aranda sur la conque: «Scientific Cooperation in the Caribbean: Queen conch (Mollusca) as indicator of Climatic Change. »(La coopération scientifique dans les Caraïbes: le lambi (mollusca), indicateur de Changement climatique)
Du 23 au 26 octobre la Guadeloupe organise un événement sur les Sargasses à l’échelle régionale (Amérique – Caraïbes). À huit (8) semaines de cet événement ont faire un point de situation.
Il faut noté d’au moins deux événements ont déjà eu lieu en 2019 sur le sujet dans la zone caraïbe :
Regional Sargassum Forum, Mona Campus, Kingston 26 juillet 2019 sous l’égide du Ministre du Tourisme jamaïcain et du Centre mondial pour la résilience du tourisme et la gestion des crises [Global Tourism Resilience and Crisis Management Centre (GTRCM)]
Le peu d’information disponible permet malgré tout de savoir qu’il y aura une foire commerciale Sargass’Expo visant à réunir des exposants autour (par ordre d’importance) de la :
télédétection-prévision;
collecte;
valorisation;
stockage;
et surveillance sanitaire.
On peut être surpris que la surveillance sanitaire soit ainsi mal placée, sachant que l’impacte principal des sargasses est d’abord sanitaire avec des risques olfactifs (perte complète potentielle de l’odorat), oculaires, cardiaque, respiratoire, intestinaux, etc. En 2018 en Martinique en 31 semaines plus de 8500 consultations liés aux émanation des sargasses ont été dénombrés par le réseau de médecins sentinelles.
Le second événement est la conférence scientifique internationale Sargassum2019 aucune information n’est à ce jour disponible, seul le comité de pilotage a été présenté en 15 avril 2019[]. Le manque d’information (c-a-d appel à communication) et de programme détaillé questionne sur son déroulement et la capacité de produire des informations utiles à l’adresse des populations (riverains, écoliers, travailleur, touristes) et des acteurs économiques impactés (marin pécheur, restaurateur, hôtelier, secteur de la voile).
Le troisième événement qui est en Off de Sargassum2019 est une seconde conférence caribéenne, du 19 au 22 octobre 2019. Elle se situe dans le cadre des rencontres scientifiques et d’innovation de la Caraïbe ‘‘Caribbean Science and Innovation Meeting“. Elle va profiter la présence de certain chercheur sur des sujets comme la biodiversité la santé, les risques naturels, les énergies renouvelables et l’économie circulaire. Cette dernière semble beaucoup mieux organiser, risque de produire des résultats très intéressants. Date limite d’inscription est fixé au 16 septembre 2019 Contacter l’Université des Antilles (Bureau de la Recherche).
TCGNRG s’interroge sur l’utilité d’utiliser des fonds publiques pour communiquer sur un sujet où très peu voir aucune avancé n’a était faite depuis 2014. Les méthodes utilisées ne sont des ré-emplois, le plus souvent du BTP en opposition à des concepts de protection de la nature et de la biodiversité. Le bon sens aurait peut-être été d’attendre 2020 pour organiser une véritable conférence transversale sur le sujet d’une semaine, laissant le temps aux scientifiques de véritablement se préparer.
Malgré tout TCGNRG propose aux particuliers, aux institutions et gouvernement nos services afin d’expertiser, d’analyser ou commenter les informations, méthodes et équipements présentés au cours cet événement.
Les arrivées de
sargasses fin juillet 2019 ont été très fréquentes en particulier
sur la côte Est de l’île de Marie-Galante. La commune de
Capesterre est la plus la plus impactée par les échouages, la
stagnation et la décomposition des algues du fait de son exposition
direct aux courants marins atlantiques et aux Alizés. La barrière
de corail située à 500m de la ligne de côte complexifie la
circulation des eaux.
Les eaux peu profondes qui entourent la bande côtière urbanisée de la commune (voir carte #1) restent chaudes car peu rafraîchies par les masses d’eaux océaniques qui passent difficilement les chenaux dessinés par le corail. Les périodes les plus favorables au renouvellement des masses d’eaux de ce lagon interviennent durant les fortes houles, où de grandes quantités d’eau pénètrent par débordement (déferlement des vagues).
Ces conditions donnent des eaux le plus souvent peu oxygénées et sensibles aux pollutions. La présence d’une quantité importante de matière organique favorise la décomposition anoxique (fermentation) et la production de gaz toxique tel que le sulfure d’hydrogène (H2S), l’ammoniaque (NH3) ou les mercaptans (Thiols). Les rejets d’eau pluviales et le dysfonctionnement des stations d’épurations provoquent l’eutrophisation de la zone caractérisée par la présence de nombreuses algues vertes et des pollutions saisonnières.
En cas d’échouage de sargasses il est essentiel de ramasser rapidement les algues mortes afin de limiter les risques de pollution atmosphérique et aquatique et d’éviter d’exposer la population à des taux de H2S ou NH3, supérieur aux valeurs d’exposition sub-chroniques respectivement de 0,02 ppm pour H2S et de 0,71 ppm pour le NH3 [HCSP 08/06/2018] pendant plus de 15 à 30 jours.
Ce ramassage bien qu’étant important et urgent, ne peut pas se faire dans n’importe quelle condition et sans respecter des règles. Le 24 juillet 2019 nous avons encore eu un exemple inquiétant des mauvaises pratiques qui sont en cours (voir photo #1 et photo #2)
absence de
délimitation de la zone de travaux
absence de
signalisation quant aux risques associés
utilisation
de machines non-adaptées dans les conditions dangereuses
mauvais choix
des lieux de ramassage, etc.
TCGNRG peut contribuer à la mise en place de procédures de ramassage respectueuses des sites naturelles, des conditions environnementales, de la sécurité et de la santé publique et des travailleurs. N’hésitez à contacter nos services
Sargassum arrivals in late July 2019 have always been very common on the east coast of Marie-Galante island. The town of Capesterre is the most impacted by stranding, stagnation and decomposition, due to its direct exposure to Atlantic ocean currents and the trade winds. The coral reef located 500m from the coast line complicates water flow. The shallow waters surrounding the urban coastal strip [see map #1 & #2] remain warm with little cooling by the oceanic masses that are difficult to pass through the coral-drawn channels. The most favourable periods renew water masses of this lagoon intervene during strong swell, where there is large quantity of water penetrate by overflow (breaking waves).
These conditions give waters that are often poorly oxygenated and sensitive to pollution. The presence of a large quantity of organic matter promotes anoxic decomposition (fermentation) and the production of toxic gases such as hydrogen sulphide (H2S), ammonia (NH3) or Thiols. Rainwater discharges and the malfunctioning of the water treatment plants cause eutrophication characterized by the presence of numerous green algae and seasonal pollution. In the case of sargassum stranding, it is essential to quickly collect dead algae in order to limit the risk of atmospheric and aquatic pollution and to avoid exposing the population to H2S or NH3 levels, which is higher than the sub-chronic exposure threshold respectively of 0.02 ppm for H2S and 0.71 ppm for NH3 [HCSP 08/06/2018 ] for more than 15 to 30 days.
This
pickup of algae, although important and urgent, can not be done in
bad conditions do anything and without respect the rules. On July
24th, 2019 we had worrying example of bad practices that are going on
(see picture 1 and picture 2)
lack of delimitation of the work area
lack of signalling of associated risks
use of unsuitable machinery in hazardous conditions
Poor choice of pickup locations, etc.
TCGNRG can contribute to the implementation of collection procedures respectful of natural sites, environmental conditions, safety and public and workers health. Do not hesitate to contact our services
Le
désalinisation est le processus qui permet d’éliminer la majeure
partie des minéraux dissous en excès dans l’eau salée (eau de mer,
eau souterraine ou lac salé). Plusieurs méthodes sont disponibles:
filtration (osmose inverse), thermique ou chimique.
Le Jamaican Green Desalination Project (Désalinisation Verte en Jamaïque) vise à concevoir une installation de dessalement adaptée alimentée par les énergies vertes disponibles en Jamaïque (vent, solaire et vague). Ce second poste présente les principes de base de la désalinisation. Toutes ces méthodes nécessitent de l’énergie pour séparer les minéraux (ex: NaCl, Mg (OH) 2, CaSO4, etc.) de l’eau (H2O).
Une enquête est toujours en cours pour mieux comprendre la relation entre la Jamaïque et l’eau douce. Si vous avez 5 minutes et que vous résidez ou avez résidé en Jamaïque, aidez-nous et répondez au sondage sur le lien
Le 1 et le 2 juin 2019 des échouages de sargasses ont été observés sur la côte caraïbe de la Martinique (Fort-de-France, Schoelcher). Ce type d’échouage est rare, depuis 2011 et la sur-abondance de radeaux dérivant de sargasses dans l’Atlantique Nord et la mer des Caraïbes.
Chaque année un ou
deux échouages sont observés sur cette côte de Fort-de-France au
Prêcheur. Ils n’ont lieu qu’en cas de conditions océanographique
et météorologique favorable.
La panne des Alizés
ressentie après le passage d’une onde tropicale a favorisé
l’action des courants marin de Sud-Ouest. Les bancs de sargasses
remontent généralement vers le nord en longeant la côte caraïbe
poussés par le vent d’Est et les courants marins. Ce dimanche 2
juin les algues pélagiques ont pu être piégées par les eaux peu
profondeurs des criques et des baies.
En deux jours de
présence, la décomposition des algues à obligé leur ramassage sur
la petite crique artificialisée de Batelière à Schoelcher (200m
x
500m),
du fait d’émanation de di-oxyde de sulfure et d’ammoniac (SO2,
NH3). Cette rapide décomposition peut évidement s’expliquer par
l’age des radeaux qui se sont échoués. Mais aussi par les
températures de l’eau (27.9-28.5°C)
relativement élevé qui diminue les concentrations d’oxygène
dissout dans l’eau de l’ordre de 1 à 2 mg par litre et donc la
décomposition anoxique (c-a-d sans oxygène).
La qualité des eaux est un autre élément à prendre en compte. Seule la qualité pour la baignade est suivit en continue. La dernière carte, éditée par l’ARS, disponible de (voir illustration 2) indique pour la plage de la Batelière à une qualité ‘bonne’. Cette mesure est trompeuse car elle n’indique que la fréquence de la présence de certaines bactéries d’origine fécale mais pas la capacité de l’écosystème à résister à une pollution anthropique ou naturelle.
Les eaux de
ruissellement lié à cette onde tropicale (donner un nom) à
dégrader la qualité de l’eau, sur le point biologique et
physico-chimique, rendant la zone plus sensible à la présence de
grande quantité d’organisme vivant.
Il est essentiel de
tenir plus compte de la qualité des eaux de baignade dans la
détermination des zones exposé au risque de pollution par
décomposition des algues de type sargasse. Afin de mieux préparer
les procédures de ramassage et les équipements nécessaires.
TCGNRG peut vous aider à concevoir de meilleurs cartes de risque de sur-concentration d’algue en fonction des conditions environnementales et de mieux adapter vos procédures de ramassage et de valorisation de la matière organique. N’hésitez pas à nous contacter
TCGNRG a récemment publié en collaboration avec l’Université des Antilles un article sur la qualité de l’air dans le centre de l’archipel de la Guadeloupe.
Résumé court en français Cet article présente une étude sur les concentrations d’ozone atmosphérique (O3), d’oxydes d’azote (NOx = NO + NO2) et de leur variabilité dans l’air ambiant sur trois sites d’un archipel en zone tropicale modérément urbanisé. Une analyse statistique a été effectuée sur un ensemble de cinq années de mesure (2008-2012) presque complète (> 80%). Il n’existe que peu d’études sur ces polluants et leur comportement saisonnier dans la zone Caraïbes, où les niveaux de pollution et la configuration des villes sont différents de ceux des mégapoles. Les analyses sont axées sur les variations de polluants à l’échelle du jour, de la semaine et de la saison, en utilisant des données horaires. Les observations montrent que les concentrations de NOx sont plus élevées pendant la saison des pluies, alors que les concentrations d’O3 sont plus élevées pendant la saison sèche. L’amplitudes des variations de l’ozone sont fortement influencées par les conditions météorologiques (température, rayonnement global et vitesse du vent) et les niveaux d’oxyde d’azote. Un effet dit « ozone week-end effect » a été détecté avec une amplitude maximale dans la ville, où l’activité anthropique est la plus faible pendant le week-end. En raison de la nature et de l’origine des polluants, les émissions de NOx présente une plus grande variabilité temporelle que l’O3. Nos résultats démontrent le besoin de mesurer en continue les composés organiques volatils (COV) afin de mieux quantifier leur contribution à la formation d’O3 dans un contexte insulaire où de nombreuses sources naturelles ont déjà été identifiées.
Répercussion de l’étude L’analyse statistique des cinq années de mesure de concentrations de NOx et d’O3 à été réalisé pour une zone faiblement industrialisée de la région Caraïbes. La qualité de l’air respecte les normes de l’Organisation Mondiale de la Santé pour ces composants, leur distribution spatiale, les sources de pollution et le niveau d’industrialisation. Les observations montrent les mêmes comportements que ceux observés dans les mégapoles mais aussi un fort impact des conditions météorologiques et du trafic routier. Les comportements de O3 ne peuvent pas être entièrement expliqués sans tenir compte des COV. La localisation et le type des Stations de la Qualité de l’Air (AQS) devraient être reconsidérés pour améliorer la précision des mesures de concentration de polluant et mieux comprendre leurs comportements.